Ce compte n’a pas encore ajouté d’informations à son profil.
Lorsque nous quittâmes l’Algérie au début des années 90 pour venir vivre en Belgique, ma mère eue la bonne idée d’inscrire ses trois enfants au cours de diction de l’académie de Braine-le-Comte. Ce qui devait être une activité des plus chiante devint très vite pour nous un lieu d’intégration, de savoir et d’amusement. Enfin surtout d’amusement. Certes, durant les nombreuses années que j’ai passées dans ce lieu » pseudo-culturel », j’ai rencontré de nombreux auteurs. Mais pour tout vous avouer les textes étaient toujours connus à la dernière minute et fort peu travaillés. Mais je m’y sentais bien, à ma place… Enfin un endroit où on pouvait glander à son aise !!! Et pour glander, j’y ai glandé des mercredis après-midi et des samedis entiers à écouter, lire, chahuter, jouer… Apprendre les bases du métier quoi ! Parallèlement, je poursuivais ma scolarité ou plutôt une scolarité chaotique me poursuivait. J’y mis un terme radical en obtenant miraculeusement mon diplôme via le jury central. Le déclic qui m’a poussé à choisir cette carrière sans hésiter, je dirais le hachoir que m’a mis sous la gorge une caillera pour mon appareil photo. Ce jour-là, je me suis dit que ça me coûterait moins cher d’être acteur que photographe. Ensuite, c’est le parcoure classique étude au conservatoire de Liège avec notamment jacques Delcuvellerie, Mathias Simons et d’autres que j’oublie. En 2009, je joue Serge dans « Aux hommes de bonne volonté « . De Jean-François Caron, mise en scène par Vincent Goethals. Rôle pour lequel j’obtiens le prix « d’espoir masculin » au Prix de la Critique en 2010. Depuis j’alterne théâtre adulte et jeune publique en Belgique et au Cameroun.
Informations complémentaires
français et notions d'anglais.
chant
natation et footing
Mes réseaux sociaux
Mon agent